LaLoi du marchĂ© est un film rĂ©alisĂ© par StĂ©phane BrizĂ© avec Vincent Lindon, Karine De Mirbeck. Synopsis : Depuis que son usine a fermĂ©, Thierry, 51 ans, mariĂ© et pĂšre d'un adolescent etmĂȘme si la terre est ronde - Topic "Personne dans le monde, ne marche du mĂȘme pas du 04-03-2019 00:31:37 sur les forums de jeuxvideo.com 62Likes, 0 Comments - Youssoufa Youssoufa Sang (@youssoufa_sang) on Instagram: “Personne dans le monde ne marche du mĂȘme pas ¡¡¡” traductionpersonne dans le monde ne dans le dictionnaire Français - NĂ©erlandais de Reverso, voir aussi 'en personne',par personne',personne sans domicile fixe',une tierce personne', conjugaison, expressions idiomatiques LesEuropĂ©ens vivent-ils dans le mĂȘme espace-temps Ă  Paris, Bruxelles et Berlin ? A tendre l'oreille successivement dans les couloirs du pouvoir de chacune de ces trois capitales, on est tentĂ© Doncla pensĂ©e majoritaire entretenue Ă©tant de dire qu' Hollande est nul , tout le monde dans les discussions , "les repas en ville " se conforte lui mĂȘme en reprenant cette antienne pour rester dans le groupe .Ce qui est ahurissant c'est de voir que le systĂšme mĂ©diatique continue sur ce terrain lĂ  , ne s'arrĂȘte pas. Quoique fasse , quoique dise cet Onn’est pas du mĂȘme Monde. En rĂ©sumĂ© je me retrouve dans une des phrases de conclusion : "Nous ne sommes pas les nazis, mais les juifs d’aujourd’hui ". Nous combattrons l’armĂ©e de l Moralement ce sera plus facile pour tout le monde Ă  plus long terme. Plus pragmatiquement, il est possible que votre ancien boss soit contactĂ© par un futur employeur potentiel : mieux vaut ne pas le quitter dans un contexte conflictuel irrĂ©solu. 6 – Zapper son pot de dĂ©part. Pas question, dans le mĂȘme esprit, de zapper le pot de dĂ©part Àla confĂ©rence Reuters Next, qui se tient depuis ce dimanche, Tim Berners-Lee, l'inventeur du World Wide Web (Web), est revenu sur les intentions qui l'ont conduit Ă  mettre en place la startup Inrupt en 2018. L'informaticien britannique qui a Ă©tĂ© fait chevalier pour avoir inventĂ© le systĂšme de navigation sur Internet veut rĂ©inventer le cyberespace pour Ă©viter que Dansle monde, 2/3 des personnes qui travaillent dans le secteur du soin sont des femmes. Cela explique pourquoi des millions de femmes se retrouvent enfermĂ©es dans la pauvretĂ©, avec peu de perspective d’en sortir. La France n’est pas Ă©pargnĂ©e par les inĂ©galitĂ©s salariales entre femmes et hommes. MĂȘme constat en France ! Les hommes gagnent 28,5% tlyj. PRÉSENTATION GÉNÉRALELa discrimination frappe au cƓur mĂȘme de ce que cela signifie d’ĂȘtre humain. Elle consiste Ă  bafouer les droits d’une personne simplement Ă  cause de son identitĂ© ou ses croyances. La discrimination est nĂ©faste et elle perpĂ©tue les avons toutes et tous le droit d’ĂȘtre traitĂ©s avec Ă©galitĂ©, indĂ©pendamment de notre appartenance ethnique, notre nationalitĂ©, notre classe, notre caste, notre religion, nos convictions, notre sexe, notre langue, notre orientation sexuelle, notre identitĂ© de genre, notre Ăąge, notre Ă©tat de santĂ© ou tout autre statut. Et pourtant, trop souvent, nous entendons les histoires dĂ©chirantes de personnes qui sont victimes de cruautĂ© pour la seule raison qu’elles appartiennent Ă  un groupe diffĂ©rent » de ceux qui se trouvent en position y a discrimination lorsqu’une personne ne peut pas jouir, au mĂȘme titre que le reste de la population, de ses droits humains ou d’autres droits juridiques, en raison d’une politique, d’une loi ou d’un traitement Ă©tablissant une distinction injustifiĂ©e. L’action d’Amnesty International est ancrĂ©e dans le principe de non-discrimination. Travaillant avec des populations du monde entier, nous luttons contre les lois et pratiques discriminatoires, afin de veiller Ă  ce que chacun et chacune puisse jouir de ses droits en toute Ă©galitĂ©. QUELS SONT LES MOTEURS DE LA DISCRIMINATION ?Toutes les formes de discrimination sont le fruit de prĂ©jugĂ©s fondĂ©s sur une conception de l’identitĂ© et reposent sur le besoin de s’identifier Ă  un certain groupe. Cela peut entraĂźner des divisions, de la haine, voire la dĂ©shumanisation d’autres personnes en raison de leur identitĂ© de nombreuses rĂ©gions du monde, les politiques du bouc Ă©missaire et de la peur se multiplient. L’intolĂ©rance, la haine et la discrimination creusent un fossĂ© de plus en plus profond dans les sociĂ©tĂ©s. Les politiques de la peur, portĂ©es par des dirigeants qui vĂ©hiculent un discours vĂ©nĂ©neux, accusant telle ou telle catĂ©gorie d’ĂȘtre responsable des problĂšmes sociaux ou Ă©conomiques, sĂšment la discorde parmi la gouvernements essaient de renforcer leur pouvoir et le statu quo en justifiant ouvertement la discrimination au nom de la morale, de la religion ou d’une idĂ©ologie. La discrimination peut ĂȘtre consacrĂ©e par le droit national, mĂȘme lorsqu’elle bafoue le droit international c’est par exemple le cas de la criminalisation de l’avortement, qui prive les femmes, les filles et les personnes enceintes de services de santĂ© dont elles seules ont besoin. Certains groupes sont parfois mĂȘme perçus par les autoritĂ©s comme plus susceptibles d’enfreindre la loi, simplement en raison de ce qu’ils sont, par exemple pauvres, autochtones ou noirs. CERTAINES DES PRINCIPALES FORMES DE DISCRIMINATIONDiscrimination raciale et ethniqueLe racisme existe dans tous les pays du monde. Il empĂȘche systĂ©matiquement des personnes de jouir de l’ensemble de leurs droits humains, en raison de la couleur de leur peau, leur origine ethnique, leur ascendance y compris la caste ou leur nationalitĂ©. S’il n’est pas combattu, le racisme peut encourager des atrocitĂ©s Ă  grande Ă©chelle, comme le gĂ©nocide de 1994 au Rwanda ou, plus rĂ©cemment, l’apartheid et le nettoyage ethnique des Rohingyas au Inde, des membres de la communautĂ© dalit sont la cible d’un vaste Ă©ventail d’atteintes aux droits humains perpĂ©trĂ©es par des membres des castes dominantes. Ces crimes, parmi lesquels des viols en rĂ©union, des homicides et des destructions de logements, ne font bien souvent pas l’objet d’enquĂȘtes de la police et ne sont pas pris au sĂ©rieux, en raison des attitudes discriminatoires envers les International a Ă©galement recueilli des informations sur la discrimination gĂ©nĂ©ralisĂ©e dont sont victimes des millions de Roms en Europe, qui sont notamment menacĂ©s d’expulsions forcĂ©es, harcelĂ©s par la police et dont les enfants sont soumis Ă  une sĂ©grĂ©gation dans les Ă  l’égard des ressortissants Ă©trangers, parfois appelĂ©e xĂ©nophobieLa discrimination Ă  l’égard des ressortissants Ă©trangers est gĂ©nĂ©ralement fondĂ©e sur des idĂ©es racistes ou sur un sentiment de supĂ©rioritĂ© et est souvent encouragĂ©e par des personnalitĂ©s politiques cherchant des boucs Ă©missaires pour les problĂšmes Ă©conomiques et sociaux dans un 2008, l’Afrique du Sud a Ă©tĂ© le théùtre de plusieurs explosions de violence contre les personnes rĂ©fugiĂ©es, demandeuses d’asile et migrantes venant d’autres pays africains, qui ont notamment Ă©tĂ© la cible d’homicides et de pillages et dont les magasins ou commerces ont Ă©tĂ© brĂ»lĂ©s. Dans certains cas, les violences ont Ă©tĂ© alimentĂ©es par les discours haineux de personnalitĂ©s politiques qui ont qualifiĂ© les Ă©trangers de criminels » et les ont accusĂ©s d’ĂȘtre un fardeau pour le systĂšme de discrimination a Ă©galement Ă©tĂ© caractĂ©ristique de la rĂ©ponse des autoritĂ©s face aux personnes rĂ©fugiĂ©es et demandeuses d’asile dans d’autres rĂ©gions du monde. De nombreuses personnes dans des pays accueillant des personnes rĂ©fugiĂ©es et demandeuses d’asile considĂšrent qu’il s’agit d’une crise, et des dirigeants ou personnalitĂ©s politiques exploitent ces peurs en promettant, et parfois en adoptant, des politiques abusives et exemple, la Hongrie a adoptĂ© un ensemble de lois punitives en 2018, ciblant les groupes identifiĂ©s par le gouvernement comme soutenant les personnes rĂ©fugiĂ©es et migrantes. Les autoritĂ©s ont Ă©galement soumis des personnes rĂ©fugiĂ©es et demandeuses d’asile Ă  de violents renvois forcĂ©s illĂ©gaux et Ă  des mauvais traitements et ont placĂ© en dĂ©tention arbitraire les personnes essayant d’entrer sur le territoire Amnesty International, nous pensons qu’il ne s’agit pas d’un problĂšme de chiffres. Il s’agit plutĂŽt d’un problĂšme de solidaritĂ©. Ce ne sont pas les personnes qui sont en cause, mais plutĂŽt les raisons qui poussent ces personnes et ces familles Ă  franchir des frontiĂšres et la rĂ©action irrĂ©aliste et Ă  courte vue des responsables pays Ă©rigent en infraction les actes sexuels entre adultes du mĂȘme 10 pays, la peine maximale pour les rapports sexuels entre adultes du mĂȘme sexe est la peine de Canada, le risque d’ĂȘtre victime de meurtre est quatre fois plus Ă©levĂ© pour les femmes autochtones que pour les d’un million de personnes dans le monde se sont mobilisĂ©es en faveur de la libĂ©ration de Meriam Yehya Ibrahim en 2014. Cette chrĂ©tienne soudanaise avait Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  mort par pendaison pour avoir abandonnĂ© sa religion. Discrimination contre les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuĂ©es LGBTIPartout dans le monde, des personnes sont victimes de discrimination en raison des personnes qu’elles aiment, des personnes par lesquelles elles sont attirĂ©es ou de leur identitĂ©. Les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuĂ©es LGBTI risquent de subir un traitement injuste dans tous les aspects de leur vie, que ce soit en matiĂšre d’éducation, d’emploi, de logement ou d’accĂšs aux soins de santĂ©, et elles risquent d’ĂȘtre victimes de harcĂšlement et de certains pays, ces personnes risquent la prison, voire la mort, en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identitĂ© de genre. Par exemple, en octobre 2019, le ministre d’État pour l’Éthique et l’IntĂ©gritĂ© d’Ouganda a annoncĂ© que le gouvernement prĂ©voyait d’imposer la peine de mort pour les relations sexuelles librement consenties entre personnes du mĂȘme 2019, Amnesty International a dĂ©montrĂ© que les soldats homosexuels et transgenres en CorĂ©e du Sud Ă©taient en butte Ă  des violences, du harcĂšlement et une discrimination gĂ©nĂ©ralisĂ©e en raison de la criminalisation des relations sexuelles librement consenties entre hommes au sein de l’armĂ©e. L’organisation a Ă©galement analysĂ© les obstacles Ă  l’accĂšs aux opĂ©rations de rĂ©attribution sexuelle en Chine. Nous avons Ă©galement fait campagne en faveur de l’autorisation des Ă©vĂ©nements liĂ©s aux marches des fiertĂ©s dans des pays tels que la Turquie, le Liban et l’ est extrĂȘmement difficile, voire impossible dans la plupart des cas, pour les personnes LGBTI de vivre en toute libertĂ© et d’obtenir justice pour les atteintes dont elles sont victimes lorsque les lois ne sont pas de leur cĂŽtĂ©. MĂȘme lorsque ces lois ne leur sont pas dĂ©favorables, la stigmatisation et les stĂ©rĂ©otypes dont font l’objet les personnes LGBTI les empĂȘchent de vivre en tant que membres Ă  part entiĂšre de la sociĂ©tĂ© et de bĂ©nĂ©ficier des mĂȘmes droits et libertĂ©s que les autres personnes. C’est pourquoi les militantes LGBTI font campagne sans relĂąche en faveur de leurs droits pour le droit d’ĂȘtre libres de toute discrimination, d’ĂȘtre libres d’aimer qui bon leur semble, de faire reconnaĂźtre leur genre Ă  l’état civil ou simplement d’ĂȘtre protĂ©gĂ©es des risques d’attaques et de ici pour de plus amples informations sur le travail d’Amnesty International en faveur des droits des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuĂ©es. Discrimination fondĂ©e sur le genreDans de nombreux pays, de toutes les rĂ©gions du monde, des lois, des politiques, des coutumes et des croyances privent les femmes et les filles de leurs Arabie saoudite et en Iran, par exemple, des lois interdisent aux femmes de s’habiller comme elles le souhaitent, Ă  Madagascar elles ne sont pas autorisĂ©es Ă  travailler la nuit, en GuinĂ©e Ă©quatoriale, elles ne peuvent pas demander un emprunt sans la signature de leur mari. Dans de nombreux pays, des lois discriminatoires limitent le droit des femmes de divorcer, d’ĂȘtre propriĂ©taires, de disposer de leur propre corps et d’ĂȘtre protĂ©gĂ©es du pour obtenir justice, des centaines de milliers de femmes et de filles descendent dans les rues pour rĂ©clamer le respect de leurs droits humains et exiger l’égalitĂ© des genres. Aux États-Unis, en Europe et au Japon, des femmes ont manifestĂ© pour protester contre la misogynie et les violences, dans le cadre des manifestations du mouvement MeToo. En Argentine, en Irlande et en Pologne, des femmes se sont rassemblĂ©es pour rĂ©clamer la suppression de lois rĂ©pressives sur l’avortement. En Arabie saoudite, elles ont demandĂ© l’abolition de l’interdiction de conduire, et en Iran, elles ont exigĂ© la fin du port obligatoire du dans le monde, des femmes et des filles ont Ă©tĂ© Ă  la pointe de la lutte pour le malgrĂ© la formidable montĂ©e du militantisme fĂ©minin, la sombre rĂ©alitĂ© reste que de nombreux gouvernements dans le monde soutiennent ouvertement des politiques, lois et coutumes qui assujettissent et rĂ©priment les l’échelle de la planĂšte, 40 % des femmes en Ăąge de procrĂ©er vivent dans des pays oĂč l’avortement reste soumis Ă  de fortes restrictions ou est en pratique inaccessible, et quelque 225 millions de femmes n’ont pas accĂšs Ă  des moyens de contraception recherches d’Amnesty International confirment que bien que les rĂ©seaux sociaux permettent aux gens dans le monde entier de s’exprimer en participant Ă  des dĂ©bats, en nouant des contacts et en partageant, les entreprises et les gouvernements n’ont rien fait pour protĂ©ger les utilisateurs et utilisatrices des rĂ©seaux sociaux des violences en ligne, ce qui a poussĂ© de nombreuses femmes Ă  s’autocensurer voire Ă  abandonner complĂštement ces les rĂ©seaux sociaux ont donnĂ© une plus grande visibilitĂ© dans certaines rĂ©gions du monde aux appels lancĂ©s par des femmes pour l’égalitĂ© au travail, une question mise en lumiĂšre dans les appels rĂ©clamant une diminution de l’écart de rĂ©munĂ©ration liĂ© au genre, qui est actuellement de 23 % Ă  l’échelle mondiale. Non seulement les femmes Ă  travers le monde sont moins payĂ©es, en moyenne, que les hommes, mais en outre elles sont plus susceptibles de travailler sans rĂ©munĂ©ration et d’occuper des emplois informels, dangereux et peu qualifiĂ©s. Ce phĂ©nomĂšne est dĂ» en grande partie aux normes sociales qui accordent une moindre valeur aux femmes et Ă  leur violence liĂ©e au genre touche de façon disproportionnĂ©e les femmes, mais les responsables politiques continuent de ne tenir aucun compte de cette vĂ©ritable crise en matiĂšre de droits humains. Étude de cas Les menstruations et les tabous qui les entourent Je suis indisposĂ©e. » Les Anglais ont dĂ©barquĂ©. » Elle a ses ragnagnas. » Dans certaines parties du monde, la stigmatisation qui frappe les menstruations va bien au-delĂ  de l’utilisation d’euphĂ©mismes. Des militantes ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s ou interrogĂ©s pour avoir pris position et essayĂ© de changer les Koirala, originaire du NĂ©pal, a eu ses premiĂšres rĂšgles Ă  11 ans. Non seulement elle a Ă©tĂ© bannie de chez elle pendant cinq jours, mais on lui a Ă©galement interdit de toucher les hommes et les garçons de sa famille pendant 11 jours et d’entrer dans la cuisine pendant 19 fait maintenant partie d’un groupe d’étudiants d’Amnesty International qui tente de contrer les attitudes nĂ©gatives concernant les menstruations. Nous faisons des vidĂ©os, organisons des rassemblements et gĂ©rons des programmes locaux destinĂ©s aux garçons et aux filles dans les zones rurales. Lorsque nous entendons des enfants parler ouvertement de ces questions, c’est un moment de fiertĂ© pour nous. Au NĂ©pal, nous devons commencer Ă  faire Ă©voluer les mentalitĂ©s au sujet des superstitions qui entourent les rĂšgles – et je pense que nous avons fait du bon travail jusqu’ici », a dĂ©clarĂ© Samikshya. Discrimination fondĂ©e sur la casteLa discrimination fondĂ©e sur l’emploi ou l’ascendance Ă©galement appelĂ©e discrimination fondĂ©e sur la caste est trĂšs rĂ©pandue en Asie et en Afrique et touche plus de 260 millions de personnes. En raison de leur identitĂ© Ă  leur naissance, les membres de ces groupes sont socialement exclus, Ă©conomiquement dĂ©favorisĂ©s et soumis Ă  des violences physiques et psychologiques. La discrimination fondĂ©e sur l’emploi ou l’ascendance est profondĂ©ment ancrĂ©e dans la sociĂ©tĂ©. Elle se manifeste dans la vie quotidienne, dans les perceptions des cultures et coutumes, dans les structures sociales et Ă©conomiques, dans l’éducation et l’emploi et dans l’accĂšs aux services, aux opportunitĂ©s, aux ressources et aux marchĂ©s. La discrimination est perpĂ©tuĂ©e de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration et, dans certains cas, elle est profondĂ©ment intĂ©riorisĂ©e, bien que certains pays aient adoptĂ© des lois et pris des mesures de discrimination positive pour lutter contre ce phĂ©nomĂšne. Amnesty International est engagĂ©e Ă  collaborer Ă©troitement avec des partenaires faisant campagne en faveur des droits des personnes victimes de discrimination fondĂ©e sur l’emploi et l’ fondĂ©e sur le handicapNon moins d’une personne sur dix dans le monde souffre d’un handicap. Pourtant, dans de nombreuses sociĂ©tĂ©s, les personnes en situation de handicap sont stigmatisĂ©es, mises au ban de la sociĂ©tĂ© et traitĂ©es avec pitiĂ© et 80 % des personnes handicapĂ©es vivent dans des pays en dĂ©veloppement. La grande majoritĂ© des personnes handicapĂ©es 82 % vit en dessous du seuil de pauvretĂ©. Les femmes en situation de handicap sont deux Ă  trois fois plus susceptibles d’ĂȘtre victimes de violences physiques ou sexuelles que les autres Kazakhstan, au titre de la lĂ©gislation actuelle, des milliers de personnes souffrant de dĂ©ficiences intellectuelles et de problĂšmes psychosociaux ont Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©es inaptes » au regard de la loi et confiĂ©es aux bons soins d’un tuteur. Dans le cadre de ce rĂ©gime, elles ne peuvent pas exercer leurs droits ni contester la dĂ©cision devant les International a Ă©galement recensĂ© de graves atteintes aux droits humains de personnes handicapĂ©es en Somalie, oĂč elles sont soumises Ă  des mariages forcĂ©s, des viols et des expulsions forcĂ©es. Étude de cas Lutter pour amĂ©liorer l’accessibilitĂ© au KirghizistanAu Kirghizistan, oĂč les personnes handicapĂ©es sont qualifiĂ©es d’ invalides » et de malades », Goulzar Douichenova lutte constamment pour sa Douichenova est une femme kirghize qui a perdu l’usage de ses jambes dans un accident de la route. Elle se dĂ©place maintenant en fauteuil roulant, mais vit dans une sociĂ©tĂ© dans laquelle les personnes handicapĂ©es sont victimes d’une discrimination quotidienne. L’une de ces formes de discrimination est le manque d’accessibilitĂ©, que ce soit pour aller chez le mĂ©decin ou prendre les transports se bat pour faire changer les choses. Elle consacre sa vie Ă  lutter pour que les personnes handicapĂ©es puissent vivre dans la dignitĂ©. Les problĂšmes d’accessibilitĂ© auxquels elle est confrontĂ©e n’ont fait que renforcer sa dĂ©termination Ă  rĂ©clamer une vie meilleure pour les autres et nous dit qu’on n’a pas le droit de s’exprimer, mais on le fait quand mĂȘme. Je m’exprime quand mĂȘme. Gulzar DuishenovaEn mars 2019, aprĂšs des annĂ©es de campagne menĂ©e par des militantes comme Goulzar, le prĂ©sident du Kirghizistan SooronbaĂŻ Jeenbekov a ratifiĂ© la Convention relative aux droits des personnes handicapĂ©es, ouvrant ainsi la voie Ă  l’intĂ©gration de 180 000 personnes en situation de handicap Ă  la vie sociale et Ă©conomique du pays. Si les personnes en situation de handicap et les personnes ĂągĂ©es vivent bien, toute la sociĂ©tĂ© vit bien. J’aimerais Ă©galement dire haut et fort qu’aucune dĂ©cision nous concernant ne devrait ĂȘtre prise sans nous », dĂ©clare Goulzar. LA SOLUTION QUE DEMANDE AMNESTY INTERNATIONAL ?Les gouvernements doivent Abroger les lois discriminatoires et libĂ©rer quiconque se trouve en prison Ă  cause d’elles ;ProtĂ©ger toutes les personnes, quelles qu’elles soient, de la violence ;Adopter des lois et des politiques encourageant l’inclusion et la diversitĂ© dans tous les pans de la sociĂ©tĂ© ;Prendre des mesures pour s’attaquer aux causes profondes de la discrimination, notamment en luttant contre les stĂ©rĂ©otypes et les attitudes Ă  la base de la discrimination. DOCUMENTS CONNEXES l'essentiel VĂ©ritable descente aux enfers pour un Italien ĂągĂ© de 34 ans. L'homme a contractĂ© simultanĂ©ment le Covid-19, la variole du singe et le VIH. Une premiĂšre pour les scientifiques. Terrible nouvelle pour cet homme italien. ÂgĂ© de 36 ans, il a contractĂ© le Covid-19, la variole du singe et le VIH au mĂȘme moment. Un cas unique pour les scientifiques, rapporte le mĂ©dia Futura Sciences. En Espagne durant cinq jours au mois de juin, il ressent des symptĂŽmes du Covid quelques jours aprĂšs son retour en Italie fiĂšvre, fatigue, toux... Son test de dĂ©pistage ressort positif, mais au mĂȘme moment son Ă©tat se dĂ©grade. Des cloques apparaissent sur sa peau, symptĂŽmes d'une infection Ă  la variole du singe. Il suit dĂ©sormais une trithĂ©rapie contre le VIH HospitalisĂ© Ă  cause de terribles douleurs et testĂ© positif Ă  la variole du singe, l'homme explique alors Ă  l'Ă©quipe mĂ©dicale avoir eu des rapports sexuels non protĂ©gĂ©s avec un autre homme lorsqu'il Ă©tait en Espagne. Par prĂ©caution, les mĂ©decins rĂ©alisent un dĂ©pistage pour les IST. Les analyses confirment une infection au VIH. Le taux du virus confirme Ă©galement que l'infection est toute rĂ©cente. La relation sexuelle semblerait donc ĂȘtre Ă  l'origine de la triple infection, d'aprĂšs les mĂ©decins. Le cas Ă©tant unique, personne n'est en capacitĂ© de dire si la santĂ© de l'homme sera durablement affectĂ©e par ces infections simultanĂ©es. Pour l'heure, il a pu sortir de l'hĂŽpital aprĂšs la disparition des symptĂŽmes du Covid-19 et de la variole du singe. Il suit dĂ©sormais une trithĂ©rapie contre le VIH. Cela ne m’avait pas manquĂ©, franchement. Etre pris pour un Ă©picier vĂ©nal par des gens qui, avant-hier encore, m’applaudissaient Ă  20 heures. Mais c’est reparti. Comme en 40. C’est le cas de le dire
AprĂšs la dĂ©ferlante de Jean-Michel virologue sur YouTube spĂ©cialiste de l’hydrochlorexidine du protocole Raoult d’ailleurs mon beau-frĂšre en a pris pendant cinq ans sans problĂšme alors on voit bien qu’on nous enfume, voici venir la deuxiĂšme vague, les Jessica spĂ©cialistes d’éthique mĂ©dicale non mais, payer les gĂ©nĂ©ralistes pour dĂ©noncer les patients Covid+, ça rappelle les heures les plus sombres de notre histoire.Il a suffi qu’apparaissent dans les mĂ©dias les exorbitants tarifs auxquels allaient ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ©s les gĂ©nĂ©ralistes chargĂ©s d’éviter une seconde vague de Covid-19, trente euros pour la dĂ©claration d’un patient Covid+, et une prime allant de 2 Ă  4 euros pour la dĂ©claration de ses possibles contacts dans les quarante-huit heures prĂ©cĂ©dant ses premiers symptĂŽmes, pour que les justiciers des rĂ©seaux sociaux appellent Ă  la dĂ©nonciation de cette mesure gestapiste. Et bien laissez-moi vous dire qu’on n’a pas le cul sorti des lire aussiLes autres Ă©pisodes du journal d'Ă©pidĂ©mie de Christian LehmannLe dĂ©confinement, c'est maintenant. Enfin, c'est demain. On ne va pas vous le cacher, la date a Ă©tĂ© choisie par Emmanuel Macron, qui a mis son gouvernement comme les services de l'Etat, devant le fait accompli. Laissant Ă  tout ce beau monde trois semaines pour tenir les dĂ©lais. Les cafouillages ministĂ©riels qui ont suivi n'ont Ă©tonnĂ© personne. Depuis le dĂ©but de cette crise, les injonctions contradictoires se succĂšdent au point de susciter l'indiffĂ©rence, voire l'acceptation tacite. Ainsi sont apparus certains thĂ©orĂšmes, qui rĂ©sistent en gĂ©nĂ©ral bien Ă  l'analyse, comme Si Blanquer le dit, on peut ĂȘtre sĂ»r qu'il arrivera l'inverse».TenirLorsque la date du dĂ©confinement a Ă©tĂ© annoncĂ©e, une course de vitesse s’est engagĂ©e. Le confinement avait Ă©tĂ© annoncĂ© en catastrophe, trop tardivement, plusieurs jours aprĂšs avoir fermĂ© les Ă©coles et en ayant laissĂ© se dĂ©rouler de maniĂšre totalement irresponsable les Ă©lections municipales. Le dĂ©confinement n’allait pas dĂ©roger Ă  cette rĂšgle. Encore une fois, et bien que je n’ai pas d’affection particuliĂšre pour le personnage, Jean-Luc MĂ©lenchon a Ă©tĂ© le seul, de mĂ©moire, Ă  insister dĂšs le dĂ©but du confinement pour tracer l’horizon et les conditions d’un dĂ©confinement cohĂ©rent, lisible, acceptable. Ses propositions ont Ă©tĂ© balayĂ©es. Et pourtant, Ă  l’exception de quelques nĂ©gationnistes germanopratins sur le cas desquels je reviendrai, le peuple français s’est pliĂ© Ă  ces directives avec une rĂ©silience qui force l’admiration. Le confinement, ce n’était pas seulement une rupture de la routine de travail, ou une perte de contacts humains. Pour certains d’entre nous, cela signifia perdre un parent sans pouvoir l’assister ou lui tenir la main, suivre l’enterrement d’un ami sur Zoom, Ă  distance. Et tenir, putain. dĂ©confinement arrive, et des anonymes, que vous n’applaudirez jamais, dont vous ne connaĂźtrez jamais le nom, ont planchĂ© jour et nuit pour tenter de rendre possible cette premiĂšre tentative de sortie de crise. Pas parce qu’ils suivent aveuglĂ©ment les directives prĂ©sidentielles. Pas parce qu’ils tentent de protĂ©ger une caste qui a dĂ©jĂ  totalement foirĂ© sur la question des masques. Mais parce qu’ils veulent Ă©viter un dĂ©sastre sanitaire et un monde idĂ©al, nous n’aurions pas confinĂ©. Les soignants, nombreux, ultraprotĂ©gĂ©s dĂšs janvier avec masques et blouses, auraient pu distribuer aux Français masques et conseils d’hygiĂšne. Les services de soins en surcapacitĂ© auraient accueilli sans risque d’épuisement du personnel ou de submersion des capacitĂ©s les personnes nĂ©cessitant une place en rĂ©animation. Mais nous ne sommes pas dans un monde idĂ©al, vous l’avez compris. Nous sommes dans un monde oĂč depuis trente ans, droite» et gauche» confondues, acquises Ă  l’économie de marchĂ©, ont martelĂ© que les dĂ©penses de santĂ© plombaient l’attractivitĂ© de la France aux capitaux Ă©trangers, et portaient atteinte Ă  la concurrence libre et non faussĂ©e. J’ai du mal Ă  mĂȘme Ă©crire ces mots d’une absolue obscĂ©nitĂ©, mais croyez-moi, certains en font commerce depuis des dĂ©cennies, et s’en portent plutĂŽt stratĂ©gieNous ne sommes pas dans un monde idĂ©al. Le confinement, d’aprĂšs une modĂ©lisation mathĂ©matique de l’UniversitĂ© de Rennes qui a pris en compte la cinĂ©tique de l’épidĂ©mie avant le confinement et les capacitĂ©s rĂ©animatoires hospitaliĂšres dans chaque rĂ©gion de France, a Ă©vitĂ© prĂšs de 588 000 hospitalisations, 140 000 passages en rĂ©animation, et prĂšs de 62 000 dĂ©cĂšs supplĂ©mentaires, sur la seule pĂ©riode du 19 mars au 19 avril
 Dans les cabinets mĂ©dicaux, dans les centres Covid, aux urgences comme en rĂ©animation, le confinement a Ă©vitĂ© l’effondrement d’un systĂšme de santĂ© qui ne tenait plus depuis des annĂ©es que sur la seule abnĂ©gation des personnels. Nous ne l’oublions pas. Nous ne le pardonnerons la France commence son dĂ©confinement. Je ne suis pas dupe des considĂ©rations Ă©conomiques qui ont conduit Ă  ce choix. Tout le monde voit bien que renvoyer en classe en premier les plus petits enfants, ceux qui ne peuvent rester seuls Ă  domicile, alors mĂȘme que les mesures barriĂšre drastiques Ă©noncĂ©es vont les confronter Ă  un dĂ©sert affectif et sensoriel, obĂ©it Ă  une pure logique Ă©conomique de retour au travail de ceux qui n'auront pas d'autre choix. Tout le monde a bien saisi que le changement de doctrine concernant les masques, hier inutiles, aujourd'hui obligatoires dans les transports, n'obĂ©it aucunement Ă  un prĂ©tendu changement de doctrine scientifique mais Ă  une pure stratĂ©gie politique, hier anxieuse de nier l'absence de stock pandĂ©mique, aujourd'hui avide de relancer l' ce contexte incertain, Ă©viter une deuxiĂšme vague qui submergerait les personnels hospitaliers Ă©puisĂ©s et laisserait des malades sur le carreau, est une nĂ©cessitĂ© vitale. Chacun s’y attelle, de ceux qui ont rĂ©pondu prĂ©sents. Le plan de traçage des contacts d’un sujet identifiĂ© Covid+ est destinĂ© Ă  Ă©viter une propagation du virus et la reprise de l’épidĂ©mie. A la diffĂ©rence du plan vaccinal catastrophique de Roselyne Bachelot lors de la grippe H1N1, il repose en premiĂšre ligne sur les mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, appelĂ©s, avec l’accord d’un patient prĂ©sentant une suspicion d’infection Ă  coronavirus, Ă  lui demander de se confiner chez lui, ainsi que les membres de sa famille, le temps d’obtenir le rĂ©sultat d’un test PCR permettant de confirmer ou d’infirmer sa le patient se rĂ©vĂšle effectivement positif au Covid, le mĂ©decin, avec l'accord de celui-ci, en informe une plateforme gĂ©rĂ©e par l'assurance maladie, fait tester sa famille proche, et note sur cette plateforme les contacts rĂ©cents du patient dans les quarante-huit heures prĂ©cĂ©dant les premiers symptĂŽmes. Deux catĂ©gories de cas contacts rapprochĂ©s peuvent ĂȘtre distinguĂ©es les personnes rĂ©sidant au mĂȘme domicile que le patient le mĂ©decin devra systĂ©matiquement recueillir les informations les concernant nom, prĂ©nom, NIR, date de naissance, adresse, coordonnĂ©es tĂ©lĂ©phoniques et adresse mail, les personnes hors cellule du domicile du patient ayant eu un contact avec le patient dans les quarante-huit heures prĂ©cĂ©dant l'apparition des premiers symptĂŽmes dans les conditions suivantes Ă©changes d'une durĂ©e d'au moins quinze minutes sans masques avec un Ă©loignement de moins d'un mĂštre mĂȘmes donnĂ©es Ă  recueillir. Le mĂ©decin aura le choix d'assurer lui-mĂȘme le recueil de ces informations ou d'en confier la tĂąche, en tout ou partie, Ă  des plateformes dĂ©partementales dite de niveau 2.»Des Ă©quipes de l’assurance maladie sont alors chargĂ©es de contacter
 les personnes-contact, de les informer de leur possible contamination, et de les inviter Ă  se faire tester au plus vite et Ă  s’isoler, d’évaluer les Ă©ventuels besoins d’accompagnement social de ces personnes. Enfin des Ă©quipes de professionnels volontaires, ainsi que des Ă©quipes issues des agences rĂ©gionales de santĂ©, sont chargĂ©es de tracer les chaĂźnes de contamination complexe dĂ©buts de clusters, foyers, Ă©tablissements trouvez ça casse-gueule ? Bienvenue au club. Moi assez de tests, disponibles suffisamment rapidement ? La plateforme informatique de l’assurance maladie fonctionnera-t-elle correctement ? Les personnels administratifs sauront-ils gĂ©rer l’information et les conseils aux contacts supposĂ©s ? Les brigades volontaires pourront-elles intervenir en respectant la dignitĂ© et l’intimitĂ© des personnes ? Je n’en sais rien. Je n’en sais rien mais je choisis de me salir les mains, et de participer. Pas par hubris professionnelle, ou esprit de revanche vis-Ă -vis de toutes ces annĂ©es oĂč nous avons Ă©tĂ© mis de cĂŽtĂ©, dĂ©nigrĂ©s. Mais parce que selon les modĂ©lisations, on peut s’attendre Ă  partir du dĂ©confinement Ă  2 000 Ă  6 000 contaminations par jour les premiers avant d'accuserSi nous n’arrivons pas Ă  briser les chaĂźnes de contamination, dans trois semaines, la France peut ĂȘtre amenĂ©e Ă  reconfiner dans l’urgence et la panique. Et la population a dĂ©jĂ  tellement subi, tellement sacrifiĂ©, que je me refuse Ă  imaginer ce que pourraient ĂȘtre les consĂ©quences sanitaires et sociales d’un tel certes, dans un monde idĂ©al, il y aurait suffisamment de gĂ©nĂ©ralistes pour gĂ©rer ce traçage dans l’absolu respect du secret mĂ©dical tout en traitant chaque malade Covid et en prenant en charge dans le mĂȘme temps l’ensemble des pathologies chroniques complexes non-Covid. Dans un monde idĂ©al, l’ARS aurait rĂ©pondu prĂ©sente Ă  la demande du gouvernement de gĂ©rer la plateforme informatique et le suivi, parce que le personnel mĂ©dical formĂ© en santĂ© publique n’aurait pas Ă©tĂ© rĂ©duit Ă  la portion congrue. Mais, je me tue Ă  le rĂ©pĂ©ter, nous ne sommes pas dans un monde idĂ©al. Nous sommes dans le monde qu’a contribuĂ© Ă  crĂ©er l’idĂ©ologie de la main invisible du marchĂ©, et l’acceptation commune tacite, par fatigue, par Ă©puisement, par dĂ©sintĂ©rĂȘt, de la destruction des je m’adresse Ă  tous ceux qui dĂ©couvrent en 2020 que, oh surprise, il existe des maladies Ă  dĂ©claration obligatoire, que, oh surprise, les pathologies infectieuses respiratoires n’ont rien Ă  foutre des atermoiements juridiques si vous n’avez pas protestĂ© contre les dĂ©cisions politiques qui nous ont amenĂ©s lĂ , si vous les avez entĂ©rinĂ©s parce que cela ne vous concernait pas directement, ayez la dĂ©cence de rĂ©flĂ©chir avant de nous accuser de dĂ©noncer nos patients Ă  la milice. Et si vous avez protestĂ© en vain, comme nous, si vous nous avez applaudis ces derniĂšres semaines, essayez d’imaginer qu’on ne nous achĂšte pas avec une prime. A moins qu’avoir un Ă©tĂ© ne fasse pas partie de vos prĂ©occupations.

personne dans le monde ne marche du mĂȘme pas